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rencontre entre célibataires

28 décembre 2007

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25 février 2007

25 février 2007

Qui sont les dragueurs du Web ?

Un internaute sur quatre surfe sur des sites de rencontres en ligne ! Et les 12 millions de Français esseulés sont de plus en plus nombreux à chercher l’amour au bout de la souris. Mais qui sont ces dragueurs de la toile ? Que recherchent-ils ? Est-ce réellement différents de la séduction "dans la vraie vie" ?

Dragueurs webIl y a 12 millions de célibataires en France. Et le nombre de personnes vivant seul a doublé depuis les années 60. Elles seraient un peu moins de 8 millions aujourd’hui. Rien qu’a Paris la situation est assez incroyable : un appartement sur deux serait occupé par une personne seule !

Un succès grandissant

En Europe, 35 millions de personnes surfent sur les sites de rencontre. Cela représenterait un célibataire sur quatre. Mais comment expliquer ce succès ? D’abord, il y a certainement la crise des rencontres : de moins en moins de temps, moins de lieux et d’occasions, difficile aujourd’hui de rencontre l’âme soeur. Le web présente ainsi un avantage indéniable : il permet de se connecter 24 h/24, et de rencontrer 10 ou 100 fois plus de personnes que le café du coin ou le bal  de quartier. Mais l’avantage principal est certainement la possibilité de se connaître avant de se rencontrer. On inverse ainsi l’ordre naturel : on décide de rencontrer physiquement la personne lorsque l’on pense avoir avec elle des atomes crochus, au lieu d’aborder quelqu’un puis de découvrir si on a des points communs… et comme le souligne le sociologue Pascal Lardellier, "prendre un râteau virtuel est quand même moins grave émotionnellement parlant !"

Le célib’ type

Le site de rencontre match.com, premier site mondial, a cherché à évaluer le profil des célibataires virtuels. Et le résultat permettait de dégager des tendances communes. D’abord, 80 % recherchent une relation stable et durable. Très peu recherchent l’aventure d’un soir. Ils sont plutôt citadins, mais c’est surtout le reflet de la couverture internet. Il y a 60 % d’hommes et 40 % de femmes. 55 % ont 30 ans et plus  et 74 % n’ont pas d’enfant. Mais il faut noter que cela concerne Match, et que sur Meetic les habitués sont plus jeunes (et plus volages ?). En tout cas, comme pour les lieux de rencontres, les célibataires du web vont choisir leur site en fonction de leurs désirs…

La nouvelle "Love Attitude"

Une grande enquête européenne, menée par l’Institut britannique "The Future Lab" pour match.com a cherché à évaluer ces nouveaux comportements amoureux, ces tendances dans les domaines des rencontres. D’après les résultats, on peut distinguer sur le web comme dans la "vraie" vie, plusieurs tendances en la matière :

Les néoromantiques

Eh oui, il y a un retour du romantisme. Car si les "aventuriers du sexe" telle que Catherine M. et autres experiences sexuelles exotiques font la une, c’est l’amour et les sentiments qui semblent revenir. La Saint-Valentin a la côte, et 8 personnes sur 10 croient au coup de foudre. Et si l’on interroge les célibataires du web, ils sont persuadés qu’ils peuvent tomber amoureux après un simple échange de mail.

Les alter-ego

Contrairement au vieil adage, les extrêmes ne s’attirent pas : au contraire, les gens ont tendance à rechercher quelqu’un comme eux, un reflet dans le miroir, un alter ego. D’ailleurs sur le web, l’une des premières questions va être "quel est le dernier livre que tu as lu" ou "le dernier film que tu as vu". Car comme le souligne Pascal Lardellier "pour s’aimer, il faut partager les mêmes origines.. et les mêmes horizons". Les princes qui épousent des bergères, ça n’existe que dans les contes de fée !

Les stratèges

Certaines personnes ont besoin de rapidité et d’efficacité, y compris en amour. Ils vont organiser leurs relations amoureuses de A à Z, car ils n’ont pas de temps à perdre. Ils mettent au point une stratégie, un plan d’action, un projet précis pour rencontrer l’âme soeur et se donnent les moyens de s’y tenir. C’est un peu à l’image des speed-dating : on planifie la rencontre, et si l’étincelle ne vient pas, on passe au suivant ! Ils veulent rentabiliser au maximum leur inscription sur les sites de rencontre. "Cette rencontrophagie, et ce zapping relationnel sont liés à l’évolution de notre époque, à l’individualisme grandissant" souligne Pascal Lardellier. Une sorte de consommation des rencontres et de la relation.

15 octobre 2006

15 octobre 2006

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wwww.bananalove.canalblog.com

info: banana-love@hotmail.fr

Banana Love est la première boisson Rencontre sans alcool, mais qui se marie parfaitement avec des alcools blancs. Pétillante et peu sucrée, avec un zeste de gingembre, dégustez bien glacée,

c'est un véritable délice.

Avec ce nouveau blog Banana Love, devenez membre pour faire des rencontres dans votre région.

Laissez vos commentaires sous forme d'annonces, c'est gratuit. Des milliers de Célibataires Femmes et Hommes se connectent chaque jour sur le web. La france compte à elle seule plus de 13 millions de Célibataires (source INSEE)

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15 octobre 2006

Près de 15 millions de célibataires en France

Actualité | France

Près de 15 millions de célibataires en France

Delphine de Mallevoüe .

  • Le célibat est globalement mieux assumé qu'auparavant : la vie en solo est désormais considérée plus comme un état d'esprit qu'un état civil. Bouet/Sipa.<BR/>

Le célibat est globalement mieux assumé qu'auparavant : la vie en solo est désormais considérée plus comme un état d'esprit qu'un état civil. Bouet/Sipa.

(AFP/P. Andrieu).

Leur nombre a doublé en quarante ans. Leur image, elle, a radicalement changé : on parle désormais de «célibattant».

LOIN DU TEMPS où les catherinettes étaient raillées et les vieux garçons, qui avaient raté leur vie, taxés de «loosers» , le célibataire jouit aujourd'hui d'une image plus positive. Le nombre fait la force, dira-t-on, car l'augmentation des célibataires en France est exponentielle : en quarante ans, ils ont plus que doublé, passant de 6,1% en 1962 à près de 14% en 2004, soit 8,3 millions de personnes.

Et encore, ces statistiques de l'Insee correspondent à une population non mariée et vivant seule chez elle. Si l'on y ajoute les deux millions de familles monoparentales, les divorcés, les veufs et autres célibataires qui vivent avec un parent sous leur toit, le chiffre atteint les 12 ou 13 millions, voire les 15 millions. Un niveau proche de la moyenne européenne, l'Union comptant 18% de célibataires. La Suède (28%) arrive en tête, la Belgique et les Pays-Bas (15%) en fin de peloton.

Côté répartition, la parité est presque de mise en France : le célibat concerne 47% des hommes et 53% des femmes, contre respectivement 43% et 48% il y a dix ans. Enfin, plus de la moitié des personnes seules ont plus de 55 ans. Divorces obligent, le profil du célibataire a changé. «Ce ne sont plus tant des trentenaires que des 40-45 ans, indique Odile Lamourère, psychosociologue et conseillère conjugale (1). En général, ils ont déjà été mariés et ont souvent des enfants, ce qui ne simplifie pas la réorganisation d'un nouveau couple.» Selon une étude européenne réactualisée en 2006 par le site Parship.fr, 52% des célibataires français le seraient depuis plus de trois ans.

Fort pouvoir d'achat

L'image du célibataire dans la société a aussi beaucoup changé. Malgré des profils très diversifiés et un célibat parfois plus subi que choisi, le «solibataire» ou «soliste», comme préfère les appeler Odile Lamourère, est globalement plus assumé qu'avant, voire revendiqué.

Au point de se définir «célibattant» et de voir la vie en solo davantage comme un état d'esprit, un mode de vie, qu'un statut ou un état civil. À cet égard, le sociologue Serge Chaumier (2) observe même un transfert des valeurs : «Alors que les homos aspirent aujourd'hui à avoir la vie de couple des hétéros, les hétéros, eux, veulent vivre selon le mode célibataire des homos», dit-il.

Ce choix de vie peut paraître plus épanouissant, «d'autant qu'aujourd'hui, le mariage n'est plus la façon de réussir sa vie», explique Serge Chaumier. Reste la question des enfants : «Les célibataires souffrent moins de ne pas avoir de conjoint que de ne pas avoir d'enfants», affirme le sociologue. L'idée que «nous sommes tous des intermittents de l'amour», comme le résume Odile Lamourère, fait son chemin.

Ainsi, 40% des célibataires assumeraient très bien le fait de vivre seul, les femmes plus volontiers que les hommes. «La pression sociale veut à tout prix nous faire vivre à deux, mais la condition sine qua non pour être heureux en couple, c'est déjà de l'être tout seul», affirme la spécialiste.

Heureuse ou non, la vie en solitaire fait le bonheur des industriels et publicitaires. Le marché se plie en quatre pour s'adapter au célibat. L'alimentation avec ses monoportions, le tourisme spécialisé, la presse magazine, le mobilier, les soirées pour solos... on ne compte plus les produits ciblés. Côté revenus, l'étude européenne de Parship.fr montre que ce sont les célibataires suisses qui ont le plus fort pouvoir d'achat (29,4% gagnent plus de 3 000 € par mois). La majorité des Français affichent eux un revenu mensuel autour de 1 400 €. Au-dessus de la moyenne européenne.

(1) «Célibataire aujourd'hui», Éditions de l'Homme, 2004. (2) «Déliaison amoureuse», Armand Colin, 1999.

15 octobre 2006

Une boisson au secours des célibataires

   banana_love_bouteilles_Ao_tBOISSON, Une boisson pour célibataires

Une nouvelle façon de faire des rencontres : en consommant la toute nouvelle boisson BANANA LOVE.
Fruit de l'imagination de trois amis, cette boisson pétillante sans alcool est vendue sur un site internet qui se veut également un site de rencontre : les consommateurs peuvent être mis en relation entre eux et des soirées sont organisées.
BANANA LOVE existe en deux codes couleurs : bleue pour les hétéros et rose pour les homos.

Source: agroalimentaire.fr

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